5 raisons de passer de l’adoucisseur à un procédé anti calcaire écologique
L’adoucisseur à sel est le procédé anti calcaire le plus vendu en France. C’est une solution efficace pour réduire les traces de calcaire. Cependant, ses effets secondaires sont de plus en plus dénoncés. Ainsi, le marché des appareils anti-calcaires sans chimie a son avenir devant lui.
Avec l’arrivée d’appareils anticalcaires écologiques fiables et plus rentables, l’adoucisseur commence à être dépassé, sa technologie n’ayant pas évolué depuis plus de 50 ans. L’écologie prend une place de plus en plus importante dans l’esprit des Français. A l’heure de la crise, il est indispensable de trouver des moyens pour réaliser des économies. Or, les produits sans chimie pour traiter le calcaire s’avèrent plus économiques.
Voici les 5 raisons de passer de l’adoucisseur d’eau à un procédé anti calcaire écologique :
1) Eau froide de consommation adoucie au sel
L’adoucisseur injecte du sel (sodium) dans l’eau pour supprimer une bonne partie du calcaire (calcium et magnésium), sels minéraux pourtant utiles au bon fonctionnement de notre organisme. L’eau ainsi adoucie est certes potable, sans risque pour les personnes en bonne santé dans la mesure où l’adoucisseur est entretenu régulièrement, mais il est peu recommandé de boire une eau salée, surtout pour les personnes souffrant d’hypertension ou qui suivent un régime hyposodé strict. D’ailleurs, en collectivités, il est formellement interdit de traiter le réseau eau froide avec un adoucisseur. Seul le réseau eau chaude peut être traité par ce type de matériel chimique. Autre inconvénient : il peut dissoudre des éléments toxiques lorsque l’eau stagne dans les canalisations.
2) Risque de corrosion
L’eau adoucie a pour avantage d’éviter l’entartrage des équipements mais en contrepartie elle peut entraîner un risque de corrosion, de fuite (par exemple, perforer une canalisation ou percer un ballon d’eau chaude, une chaudière). En effet, si l’adoucisseur est mal réglé, cela peut amplifier les propriétés corrosives de l’eau adoucie et empêcher la formation d’une fine pellicule de calcaire qui protègerait les conduites métalliques contre des agressions corrosives. Ainsi, la réglementation recommande une dureté d’eau résiduelle de 15°TH pour toute eau destinée à la consommation humaine et ayant subi un traitement d’adoucissement. L’eau adoucie ne peut pas atteindre un degré de dureté de 0°TH sinon elle serait beaucoup trop corrosive. Elle est en général abaissée entre 8 et 15°TH. A cet effet, les appareils sont munis d’un by-pass permettant de mélanger de l’eau non adoucie à l’eau traitée. On est sur un procédé chimique et non physique c’est donc un traitement plus agressif.
3) Risque de développement des bactéries et des légionelles
Quand l’eau est stagnante, c’est propice au développement des bactéries. Il faut veiller à respecter scrupuleusement les instructions d’entretien au risque de dégrader la qualité sanitaire de l’eau adoucie. Les installations domestiques de traitement mal entretenues sont fréquemment le siège d’une prolifération explosive de germes dans le circuit interne. En cas d’absence prolongée (vacances, par exemple), l’adoucisseur peut se transformer en véritable nid à microbes, d’autant plus en période d’été ou s’il est près d’une chaudière. Il faut donc veiller à désinfecter après chaque absence. Il est déconseillé de placer un adoucisseur dans une chaufferie car l’eau qui circule dans l’appareil se réchaufferait ce qui serait propice à développer des germes.
4) Rejets polluants
L’adoucisseur est un dispositif polluant. Il adoucie l’eau en injectant du sel dans l’eau et ce sel est évacué vers les rivières via les stations d’épuration. Ces dernières ne sont pas faites pour accueillir du sel qui risque alors de les endommager. Et ce rejet salé peut aussi polluer la vie aquatique.
5) Appareil coûteux en acquisition et en entretien
L’installation d’un adoucisseur nécessite des frais de plomberie. Une fois installé, il faut également prévoir des frais de maintenance : approvisionnement en sel (pour un hôpital, par exemple, la consommation peut atteindre 150 à 200 tonnes de sel par an !), contrat d’entretien (l’appareil peut se dérégler, risque de pannes), dans le coût du fonctionnement d’un adoucisseur, il faut également prévoir un surcoût pour la surconsommation d’eau pour le rinçage des résines : + 10 %, ce qui n’est pas négligeable…
L’adoucisseur à sel est donc un procédé polluant, contraignant et coûteux.
Des progrès considérables ont été réalisés ces dernières années, et ainsi, de nouveaux appareils arrivent à remplacer très avantageusement l’adoucisseur.
Il existe en effet d’autres technologies, sans chimie, qui ont fait leurs preuves pour combattre efficacement les problèmes de calcaire et qui mériteraient d’être plus connues. Mais peu à peu, ces procédés physiques gravitent des parts de marché de l’adoucisseur : au moins, ils ont l’avantage de préserver l’environnement (l’eau conserve tous ses minéraux), ils ne nécessitent aucuns travaux de plomberie pour leur installation, ni aucuns frais de fonctionnement (sans consommables, pas d’entretien) et n’entrainent aucune surconsommation d’eau ni d’énergie.
Autres avantages : l’intégralité du réseau est protégé (eau chaude et eau froide), les réseaux neufs comme les réseaux anciens peuvent être traités comme il y a une double action préventive et curative (alors que l’adoucisseur ne peut pas supprimer le calcaire déjà existant), sans risque de corrosion.
Les solutions écologiques sont beaucoup plus économiques (pas de maintenance à prévoir) : des systèmes qui fonctionnent en toute autonomie pendant plusieurs décennies.
Alors qu’attendez-vous pour abandonner votre adoucisseur qui vous fait dépenser de l’argent chaque jour qui passe alors que vous pourriez réaliser des économies avec un anti calcaire sans chimie pour un résultat encore meilleur ? Découvrez l’appareil anti calcaire sans chimie MEDIAGON.