Dans un contexte où la sobriété écologique, la maîtrise des coûts d’exploitation et la longévité des équipements sont de véritables priorités, les responsables de collectivités, syndics de copropriétés, exploitants de sites industriels ou tertiaires sont de plus en plus nombreux à remettre en question les traitements anticalcaires traditionnels avec adoucisseurs et traitements chimiques.
Face aux limites techniques et environnementales des adoucisseurs à sel, l’UBF (Ultra Basses Fréquences) s’impose comme une alternative innovante, efficace et pérenne. Ce système de traitement physique agit sans produits chimiques, sans consommables, sans entretien, et avec généralement une grande facilité d’installation. Il convient à tous les types d’installations, anciennes comme récentes, et protège durablement les réseaux d’eau grâce à une triple action préventive, curative et anticorrosion.
L’UBF agit directement sur la structure cristalline du calcaire présent dans l’eau. Grâce à l’émission d’ondes à Ultra Basses Fréquences, les cristaux de carbonate de calcium prennent une structure non adhérente, empêchant leur fixation sur les parois et équipements.
Contrairement à l’adoucisseur, qui ne fait que réduire la dureté de l’eau (avec pour conséquence une eau plus corrosive), l’UBF agit sans modifier la composition chimique de l’eau.
Il offre ainsi une protection complète et durable :
L’UBF est un système stable, qui ne peut pas se dérégler. Une fois installé, il fonctionne de manière fiable et constante, sans intervention humaine, sans risque de variation d’efficacité. Cela en fait un allié de confiance pour les installations sensibles ou difficiles d’accès.
L’UBF ne nécessite aucun entretien technique : pas de nettoyage, pas de remplacement de pièces, pas de contrôle périodique par un professionnel. Il fonctionne sans interruption, sans usure, et ne demande aucune compétence spécifique de la part des équipes de maintenance.
La maintenance est une contrainte réelle car elle a un coût et nécessite d’avoir du personnel qualifié (une difficulté croissante).
Contrairement à un adoucisseur qui nécessite l’achat et le stockage régulier de sacs de sel, de produits anticorrosion et l’entretien d’un bac de résines, l’UBF ne nécessite aucun ajout de produit. Cela libère de l’espace, réduit les risques de manipulation de substances chimiques, et supprime les contraintes logistiques.
Le coût d’acquisition d’un UBF est généralement inférieur ou équivalent à celui d’un adoucisseur de capacité comparable. Mais c’est surtout le coût global de fonctionnement qui fait toute la différence :
À l’inverse, un adoucisseur entraîne :
L’économie réalisée grâce à l’UBF est donc significative et durable.
L’UBF s’inscrit parfaitement dans une logique de sobriété écologique, aujourd’hui indispensable dans la gestion des bâtiments collectifs et industriels :
Les adoucisseurs à sel, en revanche, participent à une pollution discrète mais massive : des millions de litres d’eau rejetés chaque année en France. Une aberration à l’heure où chaque litre compte.
Et le fait d’injecter dans l’eau chaude des produits chimiques n’est certainement pas un plus pour la peau et la consommation. (On sait qu’une forte proportion de personnes utilise l’eau chaude pour la cuisson des aliments et pour leur consommation de thé ou café). S’il n’y a pas de risque sur courte période compte tenu de la faible concentration de produits chimiques, qu'en est-il des dizaines d’années durant à utiliser cette eau traitée ?
L’un des avantages clés de l’UBF est sa simplicité d’installation :
Aucune modification du réseau n’est à prévoir. L’intervention est rapide, propre et sans interruption de service.
En France, des centaines d’installations sont déjà équipées du système UBF, certaines depuis près de 20 ans. Le recul est donc suffisant pour attester de son efficacité dans le temps : maintien des performances thermiques des équipements, réduction des dépôts de tartre, amélioration de la circulation de l’eau, limitation de la corrosion.
Un nombre croissant de gestionnaires, après avoir comparé les solutions les plus couramment installées (adoucisseurs et/ou traitements chimiques), font le choix d'appareils anti-calcaire de type UBF ou similaires. Il n’est nul besoin d’une expertise poussée pour évaluer ce qui convient le mieux selon les critères : technique, compétitivité et environnemental.
La difficulté est que les gestionnaires puissent disposer de l’information. En effet, sauf rares exceptions, les prestataires de chauffage proposent rarement des alternatives aux solutions classiques.
Lors de l’installation ou de la rénovation de chaufferies, les bureaux d’études recommandent dans 99% des cas un adoucisseur couplé à un traitement chimique. Cette préconisation semble davantage motivée par l’habitude que par une réelle évaluation technique, le traitement de l’eau ne relevant pas directement de leur cœur de métier. Pour répondre aux exigences du cahier des charges, beaucoup se contentent ainsi d’un « copier-coller » en faveur de l’adoucisseur.
Il est regrettable que peu de bureaux d’études intègrent dans leur analyse les coûts de fonctionnement, les contraintes de maintenance ou encore les impacts environnementaux des solutions proposées. Trop souvent, la seule garantie apportée est une garantie de moyens, et non une garantie de résultats.
Lorsque l’installation est neuve ou récente, il est naturellement difficile pour un gestionnaire de site (conseil syndical, service technique d’un bailleur social ou de tout autre établissement) de remettre en cause un adoucisseur nouvellement installé, en décidant de le mettre hors-service au profit d’un appareil anticalcaire UBF ou similaire. Toutefois, certains prennent cette décision en toute connaissance de cause, conscients de l’intérêt qu’ils ont à adopter une alternative plus durable.
Si ces pratiques alternatives gagnent du terrain dans le domaine privé, elles restent encore marginales. Dans le secteur public, il est encore plus difficile de trouver un décideur prêt à assumer cette initiative.
Conseil : Pour éviter la perte de performance liée à l’entartrage de vos installations et réduire vos factures d’énergie, il est indispensable d'avoir un traitement anticalcaire. Deux grandes options s’offrent à vous : l’adoucisseur (souvent associé à des produits chimiques) ou l’appareil anticalcaire UBF (ou similaire).
À vous de comparer, en toute objectivité, ce que vous souhaitez privilégier :
Conclusion : Face aux enjeux actuels de performance énergétique, de durabilité des équipements et de respect des normes environnementales, l’appareil anticalcaire UBF se présente comme une alternative rationnelle, écologique et économiquement avantageuse aux adoucisseurs traditionnels. Sans produits chimiques, sans consommables, sans maintenance et sans gaspillage d’eau, il répond aux exigences des gestionnaires de patrimoine bâti, des collectivités et des exploitants d’installations techniques.
Son efficacité triple action (préventive, curative et anticorrosion), sa facilité d’installation et son retour d’expérience positif font de l’UBF une solution éprouvée et crédible. Là où les pratiques habituelles peinent à évoluer, il appartient à chaque décideur de s'informer, de comparer objectivement les solutions, et d’adopter une approche cohérente avec les impératifs de gestion moderne : maîtrise des coûts, simplicité d’exploitation et responsabilité environnementale.
Adopter l’UBF, c’est faire le choix d’un traitement anticalcaire performant, durable et respectueux de l’eau comme de ceux qui l’utilisent.
Parrainez un proche et gagnez 100 € pour chaque nouvel achat d’un appareil MEDIAGON ! Partagez votre satisfaction et profitez de notre offre de parrainage.