Le dispositif anticalcaire UBF à Ultra Basses Fréquences est une innovation technologique du 21ème siècle, qui a bénéficié des découvertes récentes en physique quantique et en électronique. Contrairement aux appareils traditionnels de traitement physique de l'eau datant du siècle passé, souvent critiqués pour leurs résultats aléatoires, l'UBF offre une fiabilité bien supérieure grâce à son principe d'action basé sur des ondes spécifiques à Ultra Basses Fréquences. Sans recours aux produits chimiques, cette technologie constitue une alternative crédible, efficace et respectueuse de l’environnement par rapport aux adoucisseurs à sel et aux produits chimiques de traitement.
Contrairement à l'adoucisseur qui élimine les ions calcium responsables de l'entartrage, l'appareil UBF agit en neutralisant le pouvoir entartrant du calcaire sans le retirer de l’eau. Le calcaire, présent sous forme dissoute, est constitué d’ions calcium (Ca++) et bicarbonate (HCO3--), de charges opposées, donc qui tendent à s’assembler mais en sont empêchés par la présence de molécules d’eau et de gaz dissous.
Quand il n’y a pas de traitement, lors d’une montée en température (par exemple, au contact d'une résistance chauffante), il y a dégazage : l’eau libère le CO2 dissous, ce qui provoque l’assemblage des ions sous forme de cristaux de calcaire dur de calcite, responsables du tartre incrustant qui endommage vos équipements.
L’UBF, par l’émission d’ondes dont les Ultra Basses Fréquences via un inducteur placé autour de la canalisation, agit de façon prématurée à ce processus et crée une agitation moléculaire qui permet le rapprochement des ions calcaire. "Il influence le processus de cristallisation", des pré-cristaux se forment, et lorsque la température augmente, des cristaux de calcaire (CaCO₃) apparaissent. Leur composition chimique reste identique, mais leur structure cristalline change.
Il s'agit alors de cristaux d’aragonite, qui présentent deux caractéristiques essentielles :
En d'autres termes, le calcaire précipite dans l’eau de manière disséminée, au lieu de se fixer sur les parois.
C’est comme si le calcaire avait été neutralisé. Il prend une forme poudreuse, évacuée naturellement avec le flux de l’eau.
Cette poudre peut se déposer sur les surfaces en contact avec l’eau, notamment après évaporation, mais elle reste facile à éliminer.
Le taux de dureté de l’eau (son TH) reste inchangé, ce qui permet de préserver sa potabilité.
Ainsi, en empêchant la formation de tartre (c’est-à-dire de cristaux de calcite incrustants), l’UBF assure une protection durable de vos installations : chaudières, ballons d’eau chaude, échangeurs à plaques, canalisations…
Il protège également tous les équipements alimentés en eau : mousseurs de robinets, bouilloires, lave-linge, lave-vaisselle, WC, ustensiles de cuisine, etc.
Le calcaire passe de l’état dissous à l’état de germes de cristallisation de forme aragonite, non incrustants et plus petits que les cristaux de calcite qui, eux, vont se fixer sur les parois et former un dépôt de tartre.
L’appareil UBF ne se limite pas à prévenir l'entartrage, il agit aussi de manière curative sur les dépôts existants.
Son action consiste à dissoudre et faire disparaître progressivement les dépôts de tartre déjà présents dans les réseaux.
Cette dissolution s’explique notamment par la formation d’acide carbonique (), issu du dégazage du dioxyde de carbone dissous dans l’eau durant sa montée en température
Cette dissolution s'explique notamment par la formation d'un acide (acide carbonique, H₂CO₃, généré lors du dégazage du dioxyde de carbone, CO2, dissous dans l'eau durant sa montée en température). Bien qu'en faible quantité, il est suffisant pour arriver, au fil des mois, à éliminer progressivement le colmatage des canalisations.
Cette action curative s'avère très utile pour :
N.B. : L’action curative s'exerce dans toute l’installation, y compris sur les résistances des appareils comme les machines à laver.
Cependant, elle ne suffit pas toujours à éliminer complètement les blocs de tartre déjà bien installés, par exemple dans la résistance en épingle d’un ballon d’eau chaude ou les "gaufrettes" dures de tartre jaune miel déjà formées sur les plaques d’un échangeur de chaleur, où l’espace est trop étroit pour permettre l’évacuation de toute particule.
En plus de son action préventive et curative contre le tartre, l’UBF contribue à protéger durablement les canalisations métalliques contre la corrosion.
Sans traitement, l’eau en contact avec des surfaces métalliques provoque naturellement une corrosion (rouille brun-rouge friable sur l’acier galvanisé, oxydation verdâtre sur le cuivre).
L’UBF agit en modifiant le type d’oxydation : pour l’acier, la rouille passera de l’état d’oxydation Fe2O3 à celui de type Fe3O4. Il favorise la formation d’un film noir de magnétite (Fe₃O₄), adhérent, très mince mais suffisant pour stopper la corrosion due à l’eau. Ce phénomène, bien connu dans l’industrie sous le nom d' "effet de passivation", s’explique donc parfaitement au plan scientifique. Même processus dans le cas de canalisations en cuivre, avec l’oxydation du cuivre.
Autre avantage : l’UBF laisse subsister un léger film calcaire protecteur, reconnu pour son rôle limitant la corrosion. D’ailleurs, les fabricants d’adoucisseurs recommandent souvent d’attendre près d'un an après une installation neuve ou rénovée avant d’envisager leur mise en place, le temps que ce film se constitue.
En comparaison, un adoucisseur rend, au contraire, l’eau plus agressive vis-à-vis des métaux. En présence de tuyauteries en acier galvanisé ou en cuivre, il est alors nécessaire d’injecter (à l'aide d'une pompe doseuse) des produits chimiques inhibiteurs de corrosion – coûteux, potentiellement irritants voire nocifs et dangereux pour ceux qui les manipulent (comme précisé sur les bidons, il faut les manipuler avec des gants et éviter tout contact avec les yeux), et pas toujours efficaces sur le long terme pour stopper la corrosion. Malgré leur dilution dans l’eau chaude sanitaire, leur usage prolongé interroge sur d’éventuels impacts pour la peau ou la santé, notamment lorsque cette eau est utilisée pour cuisiner ou pour se laver.
L'UBF évite ces contraintes chimiques en maintenant naturellement la qualité initiale de l'eau.
L’UBF bénéficie d’une garantie constructeur de 5 ans, gage de fiabilité et de durabilité. Sa durée de vie est estimée entre 20 et 30 ans (sachant qu’on a déjà un recul de près de 20 ans), sans nécessiter le moindre entretien ni intervention de maintenance. Cette autonomie totale renforce l’intérêt pour cet appareil.
En effet, dans les installations collectives ou industrielles, la continuité de service est essentielle. Il faut donc privilégier des dispositifs demandant le moins d’interventions et d’entretien possible. En pratique, la maintenance reste un point critique, souvent négligé ou mal exécuté.
Il n’est pas réaliste de demander à un technicien chauffagiste, en plus de son activité principale, de gérer en plus le contrôle des chaudières, l’ajout de sel dans un adoucisseur ou d’assurer le suivi régulier de systèmes complexes. Le raisonnement théorique souvent évoqué par les bureaux d’études — « il n’y a qu’à… » — ne résiste pas aux contraintes du terrain.
Dans les faits, ce ne sera pas le chauffagiste qui :
Conclusion : l’UBF se distingue par un fonctionnement exclusivement physique, reposant sur l’émission d’ondes à Ultra Basses Fréquences, absolument sans danger pour la santé (beaucoup plus faibles que celles d’un téléviseur). Cette technologie permet de neutraliser l’effet entartrant du calcaire sans modifier la composition chimique de l’eau. Grâce à ses actions complémentaires - prévention de l’entartrage, dissolution progressive des dépôts existants et formation d’un film protecteur contre la corrosion - l’UBF assure une protection globale des installations. Il s’impose comme une solution de traitement anticalcaire physique, fiable, durable et adaptée aux réseaux d’eau des bâtiments collectifs, industriels ou institutionnels.
Dans le secteur privé, un nombre croissant de gestionnaires adoptent ce procédé — lorsqu’ils en ont connaissance. Mais cette information circule encore peu, car rares sont les exploitants de chauffage qui proposent à leurs clients le choix entre un appareil UBF (ou équivalent) et un adoucisseur chimique. Il faut dire que la solution UBF réduit sensiblement leur marge commerciale.
Dans le patrimoine public, pourtant, cette alternative bien plus économique et écologique reste marginale. Est-ce vraiment surprenant ?
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